Voici les deux premiers cours magistraux combinés en un seul bloc pour plus de lisibilité. Je peux aussi fournir le fichier texte (.doc ou .odt) par mail.
NB : La syntaxe est relativement rude.
j'avais oublié l'intitulé
Table des matières :
1 Explication de l'intitulé
2 Présentation du corpus
2.1 Le Tambour
2.1.1 Auteur
2.1.2 Oeuvre
2.1.3 Contexte
2.2 La Valse aux adieux
2.2.1 Auteur
2.2.2 Oeuvre
2.2.3 Contexte
2.3 La Tache
2.3.1 Auteur
2.3.2 Oeuvre
2.3.3 Contexte
1 Explication de l'intitulé
Il s'agira de montrer le croisement possible entre la dimension individuelle et la dimension collective dans l'histoire. Autrement dit, le but sera d'étudier les rapports qui existent entre l'histoire et la petite histoire, c'est-à-dire celle de l'individu. Les trois textes du programme sont placés dans un ancrage historique très précis. Le Tambour c'est l'Allemagne de la 2eGM, La Valse aux adieux se passe dans une petite ville en Tchécoslovaquie, après l'invasion russe et le dur régime socialisme ainsi mis en place, puis le texte de Roth fait allusion au scandale de l'affaire Levinsky.
Sont donc mis en scène les parcours individuels de plusieurs personnages, mêlés au parcours historique d'un pays, symbolisant la manière dont on mêle grande et petite histoire. Cela implique d'étudier la façon dont la grande histoire agit sur la petite.
Egalement, il faudra s'intéresser à l'étude du lien entre les événements historiques et la fiction. Cela pose des problèmes, nous sommes dans des romans, comment parler de ce qui est réel dans des textes de fiction? On fait forcement subir une sorte de distortion à l'histoire. Le vécu se prête mal au traitement romanesque, d'où l'existence de distortions inévitables.
On a affaire à une histoire pas objective et assez intimiste, elle est vu et lue par des personnages précis. On a des personnages et narrateurs qui cherchent à relire l'histoire à travers leurs propres vécus, à montrer la manière dont l'individu la traverse, la vit et la ressent, d'où l'importance du sentiment, d'une histoire qui devient affective.
Il y a un lien ambigu à établir entre histoire et invention. Dans quelle mesure l'histoire peut conserver de l'authenticité lorsqu'elle est introduite dans de la fiction? On va avoir affaire à une histoire retravaillée dans un but artistique. Elle est vue à travers des consciences, donc subjectives, mais l'historien lui cherche à être objectif, ce n'est pas du tout le regard du romancier. Nos projets ne sont pas scientifiques mais artistiques. Le but n'est pas d'être fidèle à l'histoire, mais de l'utiliser et de s'en nourrir pour créer une trame romanesque, et en même temps de la recréer complètement à des fins esthétiques. On étudiera l'exemple dans Le Tambour aux allusions diverses de la 2e guerre mondiale dont la nuit de Cristal.
Le but est donc aussi de transfigurer l'histoire pour qu'elle serve les fins artistiques du romancier. Revient donc le problème du rapport entre fiction et réalité, l'histoire qui devient subjective, qui est recréé artistiquement.. l'histoire permet aussi à l'auteur de se faire critique et de poser un regard sur le monde qui l'entoure, sur sa société.
On a au fond des textes avant tout artistiques mais qui sont aussi engagés. Cependant, pas de déséquilibre de l'oeuvre, les auteurs gardent un bel équilibre entre la part de critique, d'engagement et la part artistique. On ne tombe pas dans de l'art engagé froid et sec, tout est fiction et y reste le plaisir de la lecture. Intrigue dense, personnages colorés..
Sont donc mis en scène les parcours individuels de plusieurs personnages, mêlés au parcours historique d'un pays, symbolisant la manière dont on mêle grande et petite histoire. Cela implique d'étudier la façon dont la grande histoire agit sur la petite.
Egalement, il faudra s'intéresser à l'étude du lien entre les événements historiques et la fiction. Cela pose des problèmes, nous sommes dans des romans, comment parler de ce qui est réel dans des textes de fiction? On fait forcement subir une sorte de distortion à l'histoire. Le vécu se prête mal au traitement romanesque, d'où l'existence de distortions inévitables.
On a affaire à une histoire pas objective et assez intimiste, elle est vu et lue par des personnages précis. On a des personnages et narrateurs qui cherchent à relire l'histoire à travers leurs propres vécus, à montrer la manière dont l'individu la traverse, la vit et la ressent, d'où l'importance du sentiment, d'une histoire qui devient affective.
Il y a un lien ambigu à établir entre histoire et invention. Dans quelle mesure l'histoire peut conserver de l'authenticité lorsqu'elle est introduite dans de la fiction? On va avoir affaire à une histoire retravaillée dans un but artistique. Elle est vue à travers des consciences, donc subjectives, mais l'historien lui cherche à être objectif, ce n'est pas du tout le regard du romancier. Nos projets ne sont pas scientifiques mais artistiques. Le but n'est pas d'être fidèle à l'histoire, mais de l'utiliser et de s'en nourrir pour créer une trame romanesque, et en même temps de la recréer complètement à des fins esthétiques. On étudiera l'exemple dans Le Tambour aux allusions diverses de la 2e guerre mondiale dont la nuit de Cristal.
Le but est donc aussi de transfigurer l'histoire pour qu'elle serve les fins artistiques du romancier. Revient donc le problème du rapport entre fiction et réalité, l'histoire qui devient subjective, qui est recréé artistiquement.. l'histoire permet aussi à l'auteur de se faire critique et de poser un regard sur le monde qui l'entoure, sur sa société.
On a au fond des textes avant tout artistiques mais qui sont aussi engagés. Cependant, pas de déséquilibre de l'oeuvre, les auteurs gardent un bel équilibre entre la part de critique, d'engagement et la part artistique. On ne tombe pas dans de l'art engagé froid et sec, tout est fiction et y reste le plaisir de la lecture. Intrigue dense, personnages colorés..
2 Présentation du corpus
2.1 Le Tambour - Die Blechtrommel
2.1.1 Günter Grass
Auteur de langue allemande très célèbre, il a entre autre obtenu le prix Nobel en 1999. Il est né en 1927 à Dantzig. Artiste protéiforme, écrivain avant tout mais surtout romancier et poète, il a aussi été musicien amateur surtout dans sa jeunesse, mais il est surtout dessinateur et sculpteur.
Entre 49 et 52 il fait d'ailleurs des études de beaux-arts à Dusseldörf (autre ville du Tambour).
Il a grandi avec le nazisme et de 1937 à 1941 il est membre de Jungvolk, premier embrigadement. De 1941 à 1944 il est dans la jeunesse hitlérienne. En 1944 il devient auxiliaire dans l'armée de l'air puis soldat, il participera à la guerre jusqu'en 1945. Le livre qu'il a publié a fait scandale à cause de sa jeunesse.
Il est blessé en 1945 et est fait prisonnier par les américains dans un camp américain. Les américains emmènent les prisonniers dans le camp de concentration de Dachau pour leur faire voir les atrocités commises par leur camp. A ce moment-là les prisonniers n'y croient pas et ce n'est qu'avec les procès de Nuremberg que les allemands comprendront ce qui s'est vraiment passé, d'où prise de conscience et d'où Tambour.
En 1946 il est libéré et renonce à son bac, et multiplie les petits travaux. Il voyage dans le même temps, en 1954 il se marie et en 1956 il part s'installer avec sa femme à Paris et y écrit le Tambour assez rapidement. Il obtient un prix pour ce livre en 1958, prix décerné par le Groupe 47. C'est en 1959 que le livre paraît en Allemagne.
D'autres oeuvres vont suivre, dont notamment celles qui font la trilogie de Dantzig, dont Le Chat et la souris 1961, et en 1963 Les Années de chien. Il écrit beaucoup de textes, en général des romans, jusqu'à cette autobiographie déguisée : Pelures d'oignon. Il n'écrit pas ce texte pour être pardonné ou recevoir de la complaisance mais il accepte enfin de se confronter à lui-même.
Grand auteur littéraire mais aussi citoyen engagé, c'est une manière de faire retour sur soi après ce passé nazi et toute sa carrière littéraire va aussi être politique, il s'engage notamment à gauche et dit qu'il rejete tous les extrêmes et se méfie de toutes les idéologies. Il choisit donc la voie moyenne avec le socialisme et est l'ennemi de la droite traditionnelle de l'Allemagne. Il va devenir l'ami de Willy Brandt qui va être chancelier allemand. Dans de nombreux voyages il l'accompagnera. Brandt est le successeur d'un autre chancelier qu'il a connu, Konrad Adenauer, chancelier de 1949 à 1963. Grass est radicalement opposé à sa politique, qui prône la reconstruction du pays et met en place la réforme monétaire. Pour Grass, cet homme va de l'avant sans assumer le passé, d'où pour lui une reconstruction artificielle. Il apprécie que Brandt cherche à revoir le passé nazi et à demander pardon. C'est aussi celui qui cherche à rapprocher les deux blocs allemands. Et s'approche aussi des pays de l'est.
Il mène constamment cette carrière d'écrivain et d'homme politique.
Entre 49 et 52 il fait d'ailleurs des études de beaux-arts à Dusseldörf (autre ville du Tambour).
Il a grandi avec le nazisme et de 1937 à 1941 il est membre de Jungvolk, premier embrigadement. De 1941 à 1944 il est dans la jeunesse hitlérienne. En 1944 il devient auxiliaire dans l'armée de l'air puis soldat, il participera à la guerre jusqu'en 1945. Le livre qu'il a publié a fait scandale à cause de sa jeunesse.
Il est blessé en 1945 et est fait prisonnier par les américains dans un camp américain. Les américains emmènent les prisonniers dans le camp de concentration de Dachau pour leur faire voir les atrocités commises par leur camp. A ce moment-là les prisonniers n'y croient pas et ce n'est qu'avec les procès de Nuremberg que les allemands comprendront ce qui s'est vraiment passé, d'où prise de conscience et d'où Tambour.
En 1946 il est libéré et renonce à son bac, et multiplie les petits travaux. Il voyage dans le même temps, en 1954 il se marie et en 1956 il part s'installer avec sa femme à Paris et y écrit le Tambour assez rapidement. Il obtient un prix pour ce livre en 1958, prix décerné par le Groupe 47. C'est en 1959 que le livre paraît en Allemagne.
D'autres oeuvres vont suivre, dont notamment celles qui font la trilogie de Dantzig, dont Le Chat et la souris 1961, et en 1963 Les Années de chien. Il écrit beaucoup de textes, en général des romans, jusqu'à cette autobiographie déguisée : Pelures d'oignon. Il n'écrit pas ce texte pour être pardonné ou recevoir de la complaisance mais il accepte enfin de se confronter à lui-même.
Grand auteur littéraire mais aussi citoyen engagé, c'est une manière de faire retour sur soi après ce passé nazi et toute sa carrière littéraire va aussi être politique, il s'engage notamment à gauche et dit qu'il rejete tous les extrêmes et se méfie de toutes les idéologies. Il choisit donc la voie moyenne avec le socialisme et est l'ennemi de la droite traditionnelle de l'Allemagne. Il va devenir l'ami de Willy Brandt qui va être chancelier allemand. Dans de nombreux voyages il l'accompagnera. Brandt est le successeur d'un autre chancelier qu'il a connu, Konrad Adenauer, chancelier de 1949 à 1963. Grass est radicalement opposé à sa politique, qui prône la reconstruction du pays et met en place la réforme monétaire. Pour Grass, cet homme va de l'avant sans assumer le passé, d'où pour lui une reconstruction artificielle. Il apprécie que Brandt cherche à revoir le passé nazi et à demander pardon. C'est aussi celui qui cherche à rapprocher les deux blocs allemands. Et s'approche aussi des pays de l'est.
Il mène constamment cette carrière d'écrivain et d'homme politique.
2.1.2 L'oeuvre
Publié en 1959, il fut écrit à une vitesse prodigieuse. Livre essentiel de la littérature allemande mais aussi mondiale. Pourquoi avoir écrit ce livre? C'était une manière de rendre compte du passé violent de son pays. Il explique le fait qu'il devait parler pour pouvoir vivre avec ce passé. L'intention de Grass était de réveiller le peuple allemand et c'est ce que fait Oscar dans le roman avec son tambour. Finalement Günter Grass est le premier qui a osé évoqué le passé nazi.
Grass se dresse contre le refoulement total qui a eu lieu. Il faut revenir sur le passé pour pouvoir l'assumer. Cela lui a valu de nombreuses injures et même des procès. Accusé même d'être sataniste, on a vu dans son oeuvre quelque chose de démoniaque. Cependant le livre connaît un grand succès, tout le monde l'achète et le lit. Il a donc touché là où ça faisait mal, les gens ont été scandalisés car Grass dressait un portrait négatif de l'Allemagne en sachant qu'il avait raison. Part de honte enfouie au fond de lui.
Grass émet une grande et nouvelle idée, celle que tout le monde était responsable du nazisme et de ses conséquences terribles. Grass dit que la faute revient à chaque citoyen allemand. Ce système a pu se mettre en place à cause d'eux, problème de la passivité du peuple. Chaque citoyen est fautif et coupable.
Grass est resté très longtemps le fils mal aimé de l'Allemagne, entretenant des rapports difficiles avec son pays. « Günter Grass, un écrivain à abattre ».
Grass se dresse contre le refoulement total qui a eu lieu. Il faut revenir sur le passé pour pouvoir l'assumer. Cela lui a valu de nombreuses injures et même des procès. Accusé même d'être sataniste, on a vu dans son oeuvre quelque chose de démoniaque. Cependant le livre connaît un grand succès, tout le monde l'achète et le lit. Il a donc touché là où ça faisait mal, les gens ont été scandalisés car Grass dressait un portrait négatif de l'Allemagne en sachant qu'il avait raison. Part de honte enfouie au fond de lui.
Grass émet une grande et nouvelle idée, celle que tout le monde était responsable du nazisme et de ses conséquences terribles. Grass dit que la faute revient à chaque citoyen allemand. Ce système a pu se mettre en place à cause d'eux, problème de la passivité du peuple. Chaque citoyen est fautif et coupable.
Grass est resté très longtemps le fils mal aimé de l'Allemagne, entretenant des rapports difficiles avec son pays. « Günter Grass, un écrivain à abattre ».
2.1.3 Contexte
Dans le Tambour le contexte historique est très important. Le roman est en trois parties, Oscar traverse toute l'histoire allemande. On le suit de sa naissance jusqu'à ses trente ans. Il décide d'écrire son histoire à cet âge-là, dans un hopital psychiatrique. L'histoire commence avant la naissance d'Oscar, dans un champ de pommes de terre en 1899. On assiste à la rencontre entre la grand-mère Anna et le grand-père incendiaire. Oscar naît en 1924, on aura ensuite tout l'épisode de la deuxième guerre mondiale ainsi que ce qui suit, puis se termine en 1954. Par l'intermediaire d'un personnage, on traverse une période de l'histoire allemande qui s'étend sur 55 ans. Les épisodes principaux retracés sont ceux de la 2GM, centrale dans le roman. La première partie du roman se déroule avant cette guerre, elle sera racontée dans le deuxième lettre qui commence avec la prise de la Pologne. Des épisodes importants on peut retenir notamment La Nuit de cristal, elle se passe du 8 au 9 novembre 1938 et marque le début des crimes contre les juifs.
Ensuite on traverse toute la guerre et on arrive à l'entrée des russes dans le pays en 1945. Les russes arrivent en Allemagne de façon assez violente, on a un épisode de cette arrivée dans le livre. Toute cette guerre est évoquée puis on passe dans une troisième partie avec un changement radical. Oscar part habiter à Dusseldorf. En même temps, le personnage décide de grandir. Il grandit dans un wagon mais la croissance ne passe pas sans trouble. Oscar va devenir très bossu et difforme. Il accepte de montrer son âge réel et qu'il a intellectuellement grandi.
Début des années 50, grande période de reconstruction pour l'Allemagne, tant sur le plan matériel qu'économique. Le pays est ruiné. Elle se fait sous Adenauer. Un des grands épisodes de cette reconstruction est la réforme monétaire de 1948. Pour Grass cet événement est négatif. Reconstruction économique ne veut pas dire reconstruction morale. Pour lui, l'Allemagne aurait ici tendance à oublier ses crimes. C'est ce qui est dénoncé dans la troisième partie.
Ensuite on traverse toute la guerre et on arrive à l'entrée des russes dans le pays en 1945. Les russes arrivent en Allemagne de façon assez violente, on a un épisode de cette arrivée dans le livre. Toute cette guerre est évoquée puis on passe dans une troisième partie avec un changement radical. Oscar part habiter à Dusseldorf. En même temps, le personnage décide de grandir. Il grandit dans un wagon mais la croissance ne passe pas sans trouble. Oscar va devenir très bossu et difforme. Il accepte de montrer son âge réel et qu'il a intellectuellement grandi.
Début des années 50, grande période de reconstruction pour l'Allemagne, tant sur le plan matériel qu'économique. Le pays est ruiné. Elle se fait sous Adenauer. Un des grands épisodes de cette reconstruction est la réforme monétaire de 1948. Pour Grass cet événement est négatif. Reconstruction économique ne veut pas dire reconstruction morale. Pour lui, l'Allemagne aurait ici tendance à oublier ses crimes. C'est ce qui est dénoncé dans la troisième partie.
En ce qui concerne le lieu : les deux premières parties se passent dans la ville de Dantzig. C'est une ville au statut particulier. Sur le plan géographique et historique elle n'appartient à aucun pays. Elle appartenait à la Prusse jusqu'en 1920. A partir de 1920 elle devient ville libre, n'appartenant à aucun pays, mais reste sous contrôle de la Société des Nations. Oscar y fait allusion dans le texte dans le deuxième chapitre. Déclarée état-libre. En 1945 elle est bombardée par les Russes, en 1939 par les Allemands qui la récupèrent. Les nombreux allemands qui y habitaient en sont expulsés après la guerre et la ville devient polonaise. C'est une ville qui a un lourd passé, partagée entre la Prusse et la Pologne. On a donc affaire aussi à une population mixte : on avait des allemands, des polonais et les cachoures.
C'est un peuple slave representé par la mère d'Oscar. C'est un peuple qui a ses propres coutumes, propre folklore et propre langue. La grand-mère parle cette langue. Les cachoures ont un territoire au nord-ouest de Dantzig. La Cachourie. Les Cachouk à Dantzig ont un problème d'identité, ils ne sont ni allemands ni polonais. La grand-mère pose ce problème dans le roman. Elle dit le problème de ce peuple pris entre deux autres nationalités.
C'est un peuple slave representé par la mère d'Oscar. C'est un peuple qui a ses propres coutumes, propre folklore et propre langue. La grand-mère parle cette langue. Les cachoures ont un territoire au nord-ouest de Dantzig. La Cachourie. Les Cachouk à Dantzig ont un problème d'identité, ils ne sont ni allemands ni polonais. La grand-mère pose ce problème dans le roman. Elle dit le problème de ce peuple pris entre deux autres nationalités.
Dernière édition par Albany le Mar 01 Avr 2008, 9:29 am, édité 2 fois
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