LE SIECLE D OR ESPAGNOL
I. LE SIECLE D’OR
1.Présentation 1525-1648
Période corr. à apogée.
-> prépondérance politique de l’Espagne ;
-> épanouissement arts dont T : 1550-1660 ;
Siècle d’or : expression évoque découvert dan colonies du Nouveau Monde, empire de Charles Quint sur lkl le soleil ne se couche jamais.
-> triomphe de l’unité religieuse : Jésuites, Ggne de jésus -> St. Ignace de l’Iola, période imp pr rel. Espagnole -> Ste Thérèse d’Avila, St. Jean de la Croix.
=> unité catholique : expulsion des Juifs et Maurisques + absence de protestants, non introduits en Esp. Car Phillipe II a veillé à ce qu’aucun ouvrage protestant n’entre et ne soir diffusé dans son Royaume.
2. Thème : contexte théologique : L’Espagne est Jésuite : pr eux tt homme peut obtenir le Salut ;
Le T du SdO témoigne des débats religieux qui occupent le siècle ;
-> Thème de l’honneur : l’IDALGO ;
-> Esthétique BAROQUE : mvt artistique/littéraire qui se dvp dans l’ensemble de l’Europe opp au Classicisme = Art INQUIET dont le thèmes = svt mouvement, métamorphose, fuite du temps.
Esthétique parti. Réaliste donc +++ CRU : cf. scènes de bataille dans œuvres de Shakes.
et PRECIEUX -> LANGAGE très ampoulé. Oratoire très imagé.
Barroco : en portugais : perle irrégulière.
II. LE THEATRE
1. Importance du théâtre
-> il occupe une pace FONDAMENTALE et sucite un intérêt dans toutes les classes de la société. (goût du divertissement + rv l’expression de son caractère.
AMOUR – HONNEUR – DIEU – FEMMES = en sont les th. De prédilection.
_ T très RYTHME, dialogues vifs et rapides.
Ses rôles :
1) du point de vue politique : rôle important car T va contribuer à l’unification du pays car les pièces sont jouées de ville en ville alors que les particulraismes régionaux étaient encore très forts.
2) EDIFIANT : maj partie public illettrée : enseignement/ morale chrétienne, des bonnes conduites à adopter.
L’Eglise va donc utiliser le T. L’homme de T la sert également lorsqu’il s’agit d’incarner un saint lors d’organisation de manifestations religieuses.
+ elle tire partie de l’ EXPLOITATION des LIEUX TX : hôpitaux etc…
Le CONDAMNE mais en tire une REVENU : AMBIGUITE
// en Angleterre où le LIGUES demandaient leurs fermetures.
Comédiens sont condamnés, eles sacrements leurs sont refusés.
Considéré comme écoles d’immoralité mais fort de son succès ; le T ne fût jamais interdit. (+ de 30 000 pièces ont été produites durant cette période.
2. Caractéristiques
Cmc avec les débuts de CERVANTES finit avec CALDERON.
-> bcp points communs avec T élisabéthain (car contemporain)
ESPACE : Début : comédiens ambulants jouent ds des PATIO - > cours des maisons ou auberges
Scène : estrade, tréteaux adossés à un mur (auberge en gnl.)
Au fond : un rideau fst office de mur scénique
Parfois une petite scène est placée au fond / plateau un peu surélevé.
Les fenêtres app. À la galerie proches peuvent également être requise par le mise en scène ;
Public pop est debout tandis que riches siègent dans loges des galeries couvertes.
Public ss doute très turbulent.
Espaces dramatiques : correp. À des LIEUX CONVENUS : bords de mer, montagne, jardins, palais, murs de la ville => DECOR SYMBOLIQUE ET NON MIMETIQUE.
LE JEU / COMEDIENS : ss doute proche du TES donc +++ artificiel.
LES PIECES : elles sont divisées en actes ou journées. Les scinde, un INTERMEDE (farcesque ou danse) : conséquence :l’ILLUSION EST ROMPUE.. on ne cherche pas à faire en sorte que le S adhère à ce qui lui est présenté.
Visée essentielle de ce T : LA FETE
LE GRAND GENRE : LA COMEDIA elle a été crée par LOPE DE VEGA et TIRSO DE MOLINA , CERVANTES (son théoricien en est CALDERON avec LE NOUVEL ART DE FAIRE DES COMEDIES.
-> pc écrite en VERS ;
-> ESTHETIQUE BAROQUE : ECRITURE d SYMBOLES et IMAGES ; PROCHE DE Shakes ;
Mélange de CE et TE.
FONCTION DIDACTIQUE en général à PORTEE MORALE.
PC MYTHOLOGIQUES : la nuit à Madrid ds jardins accompagnées de FEUX D’ARTIFICES…
III. LES AUTEURS :
_ TIRSO DE MOLINA : 1583-1648 né à Madrid. Études universitaires. Étudié au couvent. Homme d’Eglise -> activmt participé à la fondation / ordre religieux. Prieur -> très haute fonction ds hiérarchie ecclésiastique : dirigeait un couvent
A écit plusieurs 100nes de pièces du genre de la Comedia dontLE BURLADOR DE SEVILLE, la plus célèbre (1625) : première APP DE DON JUAN.
Jugé pour avoir porté atteinte à la pureté des mœurs : donc exilé, alors que prieur.
DJ séduit la fille du Commandeur, tué lors d’un duel. Sur tombe le convie avec cynisme à une fête. La statue s’anime et se rend à cette dernière.
BURLA : tromperie.
Pg de Don Juan : PICCARO ET SEDUCTEUR (aventurier)
Typique du T du Siècle d’Or => dimension religieuse issue de longue TRAD de l’AUTOS-SACRAMENTAL
Topos du Burlador : un homme oublieux de D. est en proie à faiblesse/sens et violence/ses désirs.
But => que nous condamnions Don Juan. MAGNIFIER la Religion. Fin +++ baroque car spectaculaire => EPOUVANTER PUBLIC.
Baroque : art de l’OSTENTATION :
HYPERBOLES, EXAGERATIONS… +++ images de la DEMESURE,
TROMPE L’ŒIL -> T dans T
FUITE DU TEMPS
Idée que le MONDE est UNE SC.
MONDE ILLUSOIRE =/= réalité qui est l’essence divine. Le monde est éphémère est illusoire, nous ne sommes que des pg etne relevons pas de la véritable réalité : nous sms le rêve de Dieu.
Parce que nous allons MOURIR => nous DIVERTIR.
Tt est POSSIBLE car RIEN N EST REEL ;
Esthétique exclusivement européenne.
L’ IDENTITE EST FLUCTUANTE => +++ Hermaphrodites, monstres, r^ve vs réalité, métamorphoses, mondes du théâtre.
Absence d’unités : très grande EXUBERANCE.
Morale religieuse dans pièces : DK agrave son cas malgré les mises en garde de damnation de nbrx pg => enfer.
Notre échéance est courte : le Burlador n’a pas eu le temps de se repentir.
A la différence du DON JUAN de MOLIERE, il est CROYANT.
Bien qu’il se repente au moment de mourir, la Statue du Commandeur, ne lui en laisse pas le temps.
Morale Jésuite : quels que soient nos pêchés, Dieu pardonne à condition que le fidèle exprime son repentir.
DJ véritable pg baroque : se DEGUISE : cape noire / châpeau noir. Masqué.
Le HEROS BAROQUE est un COMEDIEN.
Monde cons. Comme HYPOCRITE car tt le monde y incarne un ROLE.
Car élément le plus IMPORTANT L’IDALGO au sens de réputation diffère de celui véhiculé dans les pc de Corneille.
Pg s’en soucient bcp : en latin FAMA
Ce qui est fondamental : l’image de soi que l’on donne aux autres.
Société baroque = société des APPARENCES
Tt EST FONDE SUR LES APPARENCES
Décor de prédilection : LE MIROIR ou REFLET DE L’EAU où l’on se reflète // mythe de Narcisse.
// architecture baroque : « on a en a plein les yeux ».
2. CERVANTES
20 30 ce représentée auj 2
Peu connu comme Ar de T malgré vif succès/ époque.
_ IMPORTANT pr SES THEORIES THL qui se retrouvent dans DON QUICHOTTE chap 43 première partie ; => DISSEMINEES dans son oe THL et ROMANSQ.
_ important car mouvements baroque connut x excès : liberté à imagination. Pg +++, lieux +++
Parfois des intrigues sont amorcées mais ne connaissent aucun achèvement. Une multitude d’histoires qui s’emboîtent sans fin.
Très sanglants : massacres.
Animaux mythologiques => connotations péjoratives ensuite.
Lui considère que l’auteur ne doit pas s’abandonner « à tous les caprices de l’imagination ».
3. LOPE DE VEGA (1562-1635)
Cervantès l’apl LE PHENIX. Considéré comme le plus grand écrivain du SdO.
Théoricien. Désire avènement ‘un théâtre nouveau qui permette au théâtre espagnol d’égaliser le théâtre antique.
Il insiste sur MELANGE DES GENRES : Ce et Te =/= règle des 3 unités mais il recommande néanmoins le respect d’une UNITE TEMPORELLE qui app. VRAISEMBLABLE. (n’est pas pour l’unité d’action et n’évoque pas l’unité de lieu)
La pièce DOIT SE DIVISER en TROIS ACTES ou JOURNEES.
1) PRESENTATION PC : SUJET et PG (exposition ;
2) LE NŒUD DU DRAME ;
3) LE DENOUEMENT.
-> n’impose aucune règle de versification ni e métrique. ( a contrario de la Te ck F)
Le sujet doit être comme subordonné à l’intention morale.
-> comédie des mœurs, historique et de cape et d’épées.
4. CALDERON (1600-1682)
Auto sacramental, comédies intermédiaires…
LA VIE EST UN SONGE : la pièce baroque : te l’histoire = rêve d’un homme.
2 périodes 1640 et après ; Le drame présente un conflit dont on suit l’évolution jsk au dénouement.
Aps 1640 : ce qui importe : moins l’intrigue que le SPECTACLE + EDIFICATION RELIGIEUSE .
Son héros : souvent un révoltéen général.
=> dans ce monde qui est un théâtre, illusoire se pose la question de notre existence véritable.
Si ns sms rêve de Dieu ou de nous-mêmes : question de notre liberté ?
Question du LIBRE ARBITRE de l’Homme.
INTERROGATIONS métaphores universelles.
Snt rejouées les gdes interrogations/ Te antique sur DESTIN.
SIGISMOND // ŒDIPE ?
? humain, ? être au monde…
I. LE SIECLE D’OR
1.Présentation 1525-1648
Période corr. à apogée.
-> prépondérance politique de l’Espagne ;
-> épanouissement arts dont T : 1550-1660 ;
Siècle d’or : expression évoque découvert dan colonies du Nouveau Monde, empire de Charles Quint sur lkl le soleil ne se couche jamais.
-> triomphe de l’unité religieuse : Jésuites, Ggne de jésus -> St. Ignace de l’Iola, période imp pr rel. Espagnole -> Ste Thérèse d’Avila, St. Jean de la Croix.
=> unité catholique : expulsion des Juifs et Maurisques + absence de protestants, non introduits en Esp. Car Phillipe II a veillé à ce qu’aucun ouvrage protestant n’entre et ne soir diffusé dans son Royaume.
2. Thème : contexte théologique : L’Espagne est Jésuite : pr eux tt homme peut obtenir le Salut ;
Le T du SdO témoigne des débats religieux qui occupent le siècle ;
-> Thème de l’honneur : l’IDALGO ;
-> Esthétique BAROQUE : mvt artistique/littéraire qui se dvp dans l’ensemble de l’Europe opp au Classicisme = Art INQUIET dont le thèmes = svt mouvement, métamorphose, fuite du temps.
Esthétique parti. Réaliste donc +++ CRU : cf. scènes de bataille dans œuvres de Shakes.
et PRECIEUX -> LANGAGE très ampoulé. Oratoire très imagé.
Barroco : en portugais : perle irrégulière.
II. LE THEATRE
1. Importance du théâtre
-> il occupe une pace FONDAMENTALE et sucite un intérêt dans toutes les classes de la société. (goût du divertissement + rv l’expression de son caractère.
AMOUR – HONNEUR – DIEU – FEMMES = en sont les th. De prédilection.
_ T très RYTHME, dialogues vifs et rapides.
Ses rôles :
1) du point de vue politique : rôle important car T va contribuer à l’unification du pays car les pièces sont jouées de ville en ville alors que les particulraismes régionaux étaient encore très forts.
2) EDIFIANT : maj partie public illettrée : enseignement/ morale chrétienne, des bonnes conduites à adopter.
L’Eglise va donc utiliser le T. L’homme de T la sert également lorsqu’il s’agit d’incarner un saint lors d’organisation de manifestations religieuses.
+ elle tire partie de l’ EXPLOITATION des LIEUX TX : hôpitaux etc…
Le CONDAMNE mais en tire une REVENU : AMBIGUITE
// en Angleterre où le LIGUES demandaient leurs fermetures.
Comédiens sont condamnés, eles sacrements leurs sont refusés.
Considéré comme écoles d’immoralité mais fort de son succès ; le T ne fût jamais interdit. (+ de 30 000 pièces ont été produites durant cette période.
2. Caractéristiques
Cmc avec les débuts de CERVANTES finit avec CALDERON.
-> bcp points communs avec T élisabéthain (car contemporain)
ESPACE : Début : comédiens ambulants jouent ds des PATIO - > cours des maisons ou auberges
Scène : estrade, tréteaux adossés à un mur (auberge en gnl.)
Au fond : un rideau fst office de mur scénique
Parfois une petite scène est placée au fond / plateau un peu surélevé.
Les fenêtres app. À la galerie proches peuvent également être requise par le mise en scène ;
Public pop est debout tandis que riches siègent dans loges des galeries couvertes.
Public ss doute très turbulent.
Espaces dramatiques : correp. À des LIEUX CONVENUS : bords de mer, montagne, jardins, palais, murs de la ville => DECOR SYMBOLIQUE ET NON MIMETIQUE.
LE JEU / COMEDIENS : ss doute proche du TES donc +++ artificiel.
LES PIECES : elles sont divisées en actes ou journées. Les scinde, un INTERMEDE (farcesque ou danse) : conséquence :l’ILLUSION EST ROMPUE.. on ne cherche pas à faire en sorte que le S adhère à ce qui lui est présenté.
Visée essentielle de ce T : LA FETE
LE GRAND GENRE : LA COMEDIA elle a été crée par LOPE DE VEGA et TIRSO DE MOLINA , CERVANTES (son théoricien en est CALDERON avec LE NOUVEL ART DE FAIRE DES COMEDIES.
-> pc écrite en VERS ;
-> ESTHETIQUE BAROQUE : ECRITURE d SYMBOLES et IMAGES ; PROCHE DE Shakes ;
Mélange de CE et TE.
FONCTION DIDACTIQUE en général à PORTEE MORALE.
PC MYTHOLOGIQUES : la nuit à Madrid ds jardins accompagnées de FEUX D’ARTIFICES…
III. LES AUTEURS :
_ TIRSO DE MOLINA : 1583-1648 né à Madrid. Études universitaires. Étudié au couvent. Homme d’Eglise -> activmt participé à la fondation / ordre religieux. Prieur -> très haute fonction ds hiérarchie ecclésiastique : dirigeait un couvent
A écit plusieurs 100nes de pièces du genre de la Comedia dontLE BURLADOR DE SEVILLE, la plus célèbre (1625) : première APP DE DON JUAN.
Jugé pour avoir porté atteinte à la pureté des mœurs : donc exilé, alors que prieur.
DJ séduit la fille du Commandeur, tué lors d’un duel. Sur tombe le convie avec cynisme à une fête. La statue s’anime et se rend à cette dernière.
BURLA : tromperie.
Pg de Don Juan : PICCARO ET SEDUCTEUR (aventurier)
Typique du T du Siècle d’Or => dimension religieuse issue de longue TRAD de l’AUTOS-SACRAMENTAL
Topos du Burlador : un homme oublieux de D. est en proie à faiblesse/sens et violence/ses désirs.
But => que nous condamnions Don Juan. MAGNIFIER la Religion. Fin +++ baroque car spectaculaire => EPOUVANTER PUBLIC.
Baroque : art de l’OSTENTATION :
HYPERBOLES, EXAGERATIONS… +++ images de la DEMESURE,
TROMPE L’ŒIL -> T dans T
FUITE DU TEMPS
Idée que le MONDE est UNE SC.
MONDE ILLUSOIRE =/= réalité qui est l’essence divine. Le monde est éphémère est illusoire, nous ne sommes que des pg etne relevons pas de la véritable réalité : nous sms le rêve de Dieu.
Parce que nous allons MOURIR => nous DIVERTIR.
Tt est POSSIBLE car RIEN N EST REEL ;
Esthétique exclusivement européenne.
L’ IDENTITE EST FLUCTUANTE => +++ Hermaphrodites, monstres, r^ve vs réalité, métamorphoses, mondes du théâtre.
Absence d’unités : très grande EXUBERANCE.
Morale religieuse dans pièces : DK agrave son cas malgré les mises en garde de damnation de nbrx pg => enfer.
Notre échéance est courte : le Burlador n’a pas eu le temps de se repentir.
A la différence du DON JUAN de MOLIERE, il est CROYANT.
Bien qu’il se repente au moment de mourir, la Statue du Commandeur, ne lui en laisse pas le temps.
Morale Jésuite : quels que soient nos pêchés, Dieu pardonne à condition que le fidèle exprime son repentir.
DJ véritable pg baroque : se DEGUISE : cape noire / châpeau noir. Masqué.
Le HEROS BAROQUE est un COMEDIEN.
Monde cons. Comme HYPOCRITE car tt le monde y incarne un ROLE.
Car élément le plus IMPORTANT L’IDALGO au sens de réputation diffère de celui véhiculé dans les pc de Corneille.
Pg s’en soucient bcp : en latin FAMA
Ce qui est fondamental : l’image de soi que l’on donne aux autres.
Société baroque = société des APPARENCES
Tt EST FONDE SUR LES APPARENCES
Décor de prédilection : LE MIROIR ou REFLET DE L’EAU où l’on se reflète // mythe de Narcisse.
// architecture baroque : « on a en a plein les yeux ».
2. CERVANTES
20 30 ce représentée auj 2
Peu connu comme Ar de T malgré vif succès/ époque.
_ IMPORTANT pr SES THEORIES THL qui se retrouvent dans DON QUICHOTTE chap 43 première partie ; => DISSEMINEES dans son oe THL et ROMANSQ.
_ important car mouvements baroque connut x excès : liberté à imagination. Pg +++, lieux +++
Parfois des intrigues sont amorcées mais ne connaissent aucun achèvement. Une multitude d’histoires qui s’emboîtent sans fin.
Très sanglants : massacres.
Animaux mythologiques => connotations péjoratives ensuite.
Lui considère que l’auteur ne doit pas s’abandonner « à tous les caprices de l’imagination ».
3. LOPE DE VEGA (1562-1635)
Cervantès l’apl LE PHENIX. Considéré comme le plus grand écrivain du SdO.
Théoricien. Désire avènement ‘un théâtre nouveau qui permette au théâtre espagnol d’égaliser le théâtre antique.
Il insiste sur MELANGE DES GENRES : Ce et Te =/= règle des 3 unités mais il recommande néanmoins le respect d’une UNITE TEMPORELLE qui app. VRAISEMBLABLE. (n’est pas pour l’unité d’action et n’évoque pas l’unité de lieu)
La pièce DOIT SE DIVISER en TROIS ACTES ou JOURNEES.
1) PRESENTATION PC : SUJET et PG (exposition ;
2) LE NŒUD DU DRAME ;
3) LE DENOUEMENT.
-> n’impose aucune règle de versification ni e métrique. ( a contrario de la Te ck F)
Le sujet doit être comme subordonné à l’intention morale.
-> comédie des mœurs, historique et de cape et d’épées.
4. CALDERON (1600-1682)
Auto sacramental, comédies intermédiaires…
LA VIE EST UN SONGE : la pièce baroque : te l’histoire = rêve d’un homme.
2 périodes 1640 et après ; Le drame présente un conflit dont on suit l’évolution jsk au dénouement.
Aps 1640 : ce qui importe : moins l’intrigue que le SPECTACLE + EDIFICATION RELIGIEUSE .
Son héros : souvent un révoltéen général.
=> dans ce monde qui est un théâtre, illusoire se pose la question de notre existence véritable.
Si ns sms rêve de Dieu ou de nous-mêmes : question de notre liberté ?
Question du LIBRE ARBITRE de l’Homme.
INTERROGATIONS métaphores universelles.
Snt rejouées les gdes interrogations/ Te antique sur DESTIN.
SIGISMOND // ŒDIPE ?
? humain, ? être au monde…
Mer 09 Déc 2009, 8:27 am par Admin
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