Introduction:
Différentes méthodes permettent d'aborder le ltexte littéraire:
_ méthode critique/ Imaginaire
_ Psychanalytique (Barthes, Kristeva...)
_ Sociologique (Sartre...)
_ Réception (Ecco...)
_ Philosophique (Badiou...)
Ces analyses mettent l'accent que qqch qui est "caché" dans le texte.
L'appareil critique portant son attention sur le texte lui-même comme forme langagière, sur le texte seul est la linguistique, le formalisme (Propp, Jakobson, Barthes, Genette), la pragmatique étudiant l'efficacité du discours, effet du langage comme puissance d'intervention dans la réalité.
La rhétorique moderne envisage le texte comme une machine que l'on peut remonter, démonter et qui est reproductive.
Ce qui est recherché relève de la LITTERARITE du texte, ce qui permet de l'inscrire dans une perspective littéraire.
Chapitre 1
(lire Cogard, p.26 à 87.)
La stylistique naît en France au début du 20ème s., le mot apparaît quant à lui en 1872 (cf. biblio.) La Rhétorique souffre d'un long déclin et se voit chassée des lycées car taxée de pédantisme et d'élitisme. Survient parallèlement, en Allemagne, à la fin du 19ème s., un courant linguistique philosophique et psychologique incarné par Steinthal ("Sur la stylistique",1866). Les linguistes s'emploient à construire la théorie de la stylistique rationnelle (texte 1 du cahier). Son développement en France est marquée par l'épanouissement de la grammaire normative depuis le 17ème s., à partir de la publication par Charles Bally (1865-1947) de son "Précis de stylistique française" en 1905 et de son "Traité" en 1909 dans lesquels il propose une nouvelle stylistique prétendant désormais à la description. Son domaine d'études réside dans le langage non littéraire, affectif et spontané au sein duquel il isole une séquence verbale porteuse de faits de style.
La stylistique est l'étude d'un ensemble constitué par des procédés langagiers. Bally ne porte son attention qu'aux actes de langage non littéraires (texte 2) ce qui suscite une critique assez vive de la part des linguistes mais qui n'entache en rien l'idée qu'il représente et demeure "l'inventeur" de la stylistique française.
Léo Spitzer (viennois, 1887-1960, "Etudes de style",1970), à la différence de Bally, Spitzer s'attache à l'étude de textes littéraires, aux styles individuels propres aux écrivains. Il s'astreint par exemple à relever tous les faits linguistiques récurrents comme l'oxymore à partir desquels il construit une hypothèse d'ordre herméneutique (c'est-à-dire "une interprétation") exprimée sous la forme d'une impression esthétique et psychologique parlant par exemple "d'effet de sourdine". S'ensuit une recherche exhaustive de tous les faits linguistiques corroborant celle-ci. La méthode usitée par Spitzer consiste à élaborer une hypothèse dont il procède ensuite à la démonstration. (cf. texte 3).
Pierre Larthomas ("Le Langage dramatique", 1970) inaugure la "stylistique des genres". Le genre (Roman épistolaire, le théâtre...) est défini en fonction des spécificités de ses sous-genres (comédie, Drame...) et de son unité émancipée des contraintes résultant de la diversité. Cette perspective particulièrement féconde offre une grande richesse d'entrées dans le texte (cf. texte 4).
Roman Jakobson est issu des formalistes russes. Il met en oeuvre les principes de la stylistique strucurale. Il applique ces méthodes d'analyse à la littérature aboutiisant à la définition de la littérarité. Il est connu pour être l'inventeur du schéma comprenant des six fonctions de la communication verbale. Il distingue la fonction poètique dominante développée à l'intèrieur de l'énoncé littéraire
(Textes 5 et 6)
Hamon, Sémiotique de l'ironie + description
Molinié use du terme se "sémio-stylistique" constitue la science générale de tous les signes. Son travail tient s'appuit sur les postures énonciatives dans le but d'en cerner la littérarité.
Conclusion : La stylistique est une dicipline dont la technique rigoureuse s'est enrichie progressivement par l'action de nombreuses approches. Elle s'ancre considérablement dans le domaine de la linguistique et vise à "décortiquer" le matèriau langagier afin de démontrer les spécificités des textes étudiés s'inscrivant dans un genre, une tonalité ainsi que celles permettant à ces derniers de transgresser les clivages esthétiques inhérents au genre par lesquelles l'écrit littéraire manifeste sa singularité.
L'objet recherché par ce travail est le dégagement d'une littérarité, les traits ou combinaisons de traits permettant d'identifier ces textes comme appartenent au genre littéraire.
Lecture et herméneutique aboutissent à une sensibilité. Le texte possède une spécificité générique, tonale et esthétique essentielles.
Nul procédé n'est en mesure de répondre seul à ces interrogations et ne peut se fait prendre sens que dans un ensemble de faits.
La forme ne possède en aucun cas une valeur ornementale, elle ne peut de fait être coupée du sujet, du message car elle partaicipe activement à son élaboration.
Chapitre 2 : Le discours au service de la stylistique.
Au carrefour de multiples disciplines, la stylistique emprunte à chacune des outils d'investigation qu' elle met au service de la recherche de la littérarité.
1_ La Grammaire
Son intérêt réside dans la nécessité d'approche formelle à laquelle est soumise. Julien Gracq utilise le temps à... "contre-temps", ainsi d'un texte marqué par l'itératif, il fait soudainement surgir un passé simple n'ayant aucun rapport avec l'expression de ce dernier. ("Pseudo-itératif", Genette) Un mot est donné comme modèle du genre et vaudra en vue des fois suivantes. La compréhnsion du sens dépasse largement les compétences de la grammaire dont les connaissances demeurent toutefois nécessaires, l'étude de la langue française s'appuyant sur la terminologie grammaticale en vigueur.
2_La Rhétorique
Le texte littéraire est un discours dont le but consiste à persuader un destinataire de qqch. L'art du discours persuasif, les connaissances qui relèvent celui-ci appartiennent à la rhétorique, discipline ayant permis aux plus grands orateurs de construire leur discours est essentielle à la stylistique. L'efficacité du dicours est le but des techniques amployées par la rhétorique. Cinq étapes jalonnent le travail de l'orateur :
A. Inventio:
Partie permettant à l'orateur de choisir convenablement le contenu de son discours, les lieux communs, les topoï qu'il souhaite développer.
B.Dispositio :
(Source : "Introduction à la stylistique", Calas, Hachette supérieur)
Partie permettant d'organiser convenablement le contenu du discours lequel s'articulera autour des étapes suivantes :
a. Exorde : Il consiste à introduire les thèmes ainsi qu'à capter la bienveillance de l'auditoire : Captatio beneventiae.
b. Narratio : Exposition des faits qui ont aboutit à la situation actuelle Cicéron résume ces étapes sous la forme des questions suivantes : "Qui, que, quoi, où, pourquoi, comment, à l'aide de qui ou de quoi?". Elle correspond également au moment où le narrateur expose son ethos, la manière dont il apparaît face à son auditoire.
c. Argumentation : Confirmatio et refutatio.L'argumentation s'appuyant sur la construction des deux éléments suivants en antithèse dont les preuves participent à l'élaboration du sens, du point de vue que l'orateur souhaite faire valoir.
d. Peroraison : Rappelle les temps forts de la démonstration en les amplifiant, propose une synthèse sous forme de conclusion s'adressant directement à la mémoire de l'auditoire et de ses "passions". (ex. 2 et 3)
C. Elocutio : Choix des figures les mieux adaptées à son discours
D. Actio : Interprétation du discours sur le plan physique (mimiques etc...)
E. Memoria : Les méthodes d'apprentissage du discours.
La rhétorique antique avait pour objet le discours prononcé en public cependant il est nécessaire de garder à l'esprit qu'un même style ne convient pas à toues les causes. Aristote distingue par ailleurs les trois genres suivants :
a.Judiciaire : Discours pronnoncé dans un tribunal
b.Délibératif : Appartenant au politique.
c.Epidictique : Genre attaché à la commémoration.
Les fonctions du discours sont les suivantes :
a. Fonction Ethique : Ensemble des marques du discours dont la volonté est de plaire. L' ethos relève du caractère moral de l'orateur et de la manière dont celui-ci se positionne vis-à-vis d'autrui.
b.Fonction Pathétique : marques langagières impliquées dans le discours voulant toucher son auditoire. Le pathos désigne les sentiments que l'on éprouve, de fait les réactions, les émotions de l'auditoire que l'orateur provoque au moyen de différents procédés.
c.Fonction Logique : Tend à démontrer un fait et à en convaincre l'auditoire en développant une déduction ou induction concernant le message linguistique propre, le logos étant associé à la parole
De nombreux textes littéraires comportent un discours appartenant aux trois genres, s'en éloignant ou s'en rapprochant de manière significative.
ex.: Ponge propose un discours d'ordre épidictique procédant à l'éloge d'une théière, du sable, d'un crabe...
Stendhal use du genre judiciaire tandis que la tragédie classique offre de nombreux exemples de discours relevant des trois genres. Les écrivains jouent de la dichotomie opérée à tavers la distinction générique en assignant certains passages à plusieurs genres différents.
Différentes méthodes permettent d'aborder le ltexte littéraire:
_ méthode critique/ Imaginaire
_ Psychanalytique (Barthes, Kristeva...)
_ Sociologique (Sartre...)
_ Réception (Ecco...)
_ Philosophique (Badiou...)
Ces analyses mettent l'accent que qqch qui est "caché" dans le texte.
L'appareil critique portant son attention sur le texte lui-même comme forme langagière, sur le texte seul est la linguistique, le formalisme (Propp, Jakobson, Barthes, Genette), la pragmatique étudiant l'efficacité du discours, effet du langage comme puissance d'intervention dans la réalité.
La rhétorique moderne envisage le texte comme une machine que l'on peut remonter, démonter et qui est reproductive.
Ce qui est recherché relève de la LITTERARITE du texte, ce qui permet de l'inscrire dans une perspective littéraire.
Chapitre 1
(lire Cogard, p.26 à 87.)
La stylistique naît en France au début du 20ème s., le mot apparaît quant à lui en 1872 (cf. biblio.) La Rhétorique souffre d'un long déclin et se voit chassée des lycées car taxée de pédantisme et d'élitisme. Survient parallèlement, en Allemagne, à la fin du 19ème s., un courant linguistique philosophique et psychologique incarné par Steinthal ("Sur la stylistique",1866). Les linguistes s'emploient à construire la théorie de la stylistique rationnelle (texte 1 du cahier). Son développement en France est marquée par l'épanouissement de la grammaire normative depuis le 17ème s., à partir de la publication par Charles Bally (1865-1947) de son "Précis de stylistique française" en 1905 et de son "Traité" en 1909 dans lesquels il propose une nouvelle stylistique prétendant désormais à la description. Son domaine d'études réside dans le langage non littéraire, affectif et spontané au sein duquel il isole une séquence verbale porteuse de faits de style.
La stylistique est l'étude d'un ensemble constitué par des procédés langagiers. Bally ne porte son attention qu'aux actes de langage non littéraires (texte 2) ce qui suscite une critique assez vive de la part des linguistes mais qui n'entache en rien l'idée qu'il représente et demeure "l'inventeur" de la stylistique française.
Léo Spitzer (viennois, 1887-1960, "Etudes de style",1970), à la différence de Bally, Spitzer s'attache à l'étude de textes littéraires, aux styles individuels propres aux écrivains. Il s'astreint par exemple à relever tous les faits linguistiques récurrents comme l'oxymore à partir desquels il construit une hypothèse d'ordre herméneutique (c'est-à-dire "une interprétation") exprimée sous la forme d'une impression esthétique et psychologique parlant par exemple "d'effet de sourdine". S'ensuit une recherche exhaustive de tous les faits linguistiques corroborant celle-ci. La méthode usitée par Spitzer consiste à élaborer une hypothèse dont il procède ensuite à la démonstration. (cf. texte 3).
Pierre Larthomas ("Le Langage dramatique", 1970) inaugure la "stylistique des genres". Le genre (Roman épistolaire, le théâtre...) est défini en fonction des spécificités de ses sous-genres (comédie, Drame...) et de son unité émancipée des contraintes résultant de la diversité. Cette perspective particulièrement féconde offre une grande richesse d'entrées dans le texte (cf. texte 4).
Roman Jakobson est issu des formalistes russes. Il met en oeuvre les principes de la stylistique strucurale. Il applique ces méthodes d'analyse à la littérature aboutiisant à la définition de la littérarité. Il est connu pour être l'inventeur du schéma comprenant des six fonctions de la communication verbale. Il distingue la fonction poètique dominante développée à l'intèrieur de l'énoncé littéraire
(Textes 5 et 6)
Hamon, Sémiotique de l'ironie + description
Molinié use du terme se "sémio-stylistique" constitue la science générale de tous les signes. Son travail tient s'appuit sur les postures énonciatives dans le but d'en cerner la littérarité.
Conclusion : La stylistique est une dicipline dont la technique rigoureuse s'est enrichie progressivement par l'action de nombreuses approches. Elle s'ancre considérablement dans le domaine de la linguistique et vise à "décortiquer" le matèriau langagier afin de démontrer les spécificités des textes étudiés s'inscrivant dans un genre, une tonalité ainsi que celles permettant à ces derniers de transgresser les clivages esthétiques inhérents au genre par lesquelles l'écrit littéraire manifeste sa singularité.
L'objet recherché par ce travail est le dégagement d'une littérarité, les traits ou combinaisons de traits permettant d'identifier ces textes comme appartenent au genre littéraire.
Lecture et herméneutique aboutissent à une sensibilité. Le texte possède une spécificité générique, tonale et esthétique essentielles.
Nul procédé n'est en mesure de répondre seul à ces interrogations et ne peut se fait prendre sens que dans un ensemble de faits.
La forme ne possède en aucun cas une valeur ornementale, elle ne peut de fait être coupée du sujet, du message car elle partaicipe activement à son élaboration.
Chapitre 2 : Le discours au service de la stylistique.
Au carrefour de multiples disciplines, la stylistique emprunte à chacune des outils d'investigation qu' elle met au service de la recherche de la littérarité.
1_ La Grammaire
Son intérêt réside dans la nécessité d'approche formelle à laquelle est soumise. Julien Gracq utilise le temps à... "contre-temps", ainsi d'un texte marqué par l'itératif, il fait soudainement surgir un passé simple n'ayant aucun rapport avec l'expression de ce dernier. ("Pseudo-itératif", Genette) Un mot est donné comme modèle du genre et vaudra en vue des fois suivantes. La compréhnsion du sens dépasse largement les compétences de la grammaire dont les connaissances demeurent toutefois nécessaires, l'étude de la langue française s'appuyant sur la terminologie grammaticale en vigueur.
2_La Rhétorique
Le texte littéraire est un discours dont le but consiste à persuader un destinataire de qqch. L'art du discours persuasif, les connaissances qui relèvent celui-ci appartiennent à la rhétorique, discipline ayant permis aux plus grands orateurs de construire leur discours est essentielle à la stylistique. L'efficacité du dicours est le but des techniques amployées par la rhétorique. Cinq étapes jalonnent le travail de l'orateur :
A. Inventio:
Partie permettant à l'orateur de choisir convenablement le contenu de son discours, les lieux communs, les topoï qu'il souhaite développer.
B.Dispositio :
(Source : "Introduction à la stylistique", Calas, Hachette supérieur)
Partie permettant d'organiser convenablement le contenu du discours lequel s'articulera autour des étapes suivantes :
a. Exorde : Il consiste à introduire les thèmes ainsi qu'à capter la bienveillance de l'auditoire : Captatio beneventiae.
b. Narratio : Exposition des faits qui ont aboutit à la situation actuelle Cicéron résume ces étapes sous la forme des questions suivantes : "Qui, que, quoi, où, pourquoi, comment, à l'aide de qui ou de quoi?". Elle correspond également au moment où le narrateur expose son ethos, la manière dont il apparaît face à son auditoire.
c. Argumentation : Confirmatio et refutatio.L'argumentation s'appuyant sur la construction des deux éléments suivants en antithèse dont les preuves participent à l'élaboration du sens, du point de vue que l'orateur souhaite faire valoir.
d. Peroraison : Rappelle les temps forts de la démonstration en les amplifiant, propose une synthèse sous forme de conclusion s'adressant directement à la mémoire de l'auditoire et de ses "passions". (ex. 2 et 3)
C. Elocutio : Choix des figures les mieux adaptées à son discours
D. Actio : Interprétation du discours sur le plan physique (mimiques etc...)
E. Memoria : Les méthodes d'apprentissage du discours.
La rhétorique antique avait pour objet le discours prononcé en public cependant il est nécessaire de garder à l'esprit qu'un même style ne convient pas à toues les causes. Aristote distingue par ailleurs les trois genres suivants :
a.Judiciaire : Discours pronnoncé dans un tribunal
b.Délibératif : Appartenant au politique.
c.Epidictique : Genre attaché à la commémoration.
Les fonctions du discours sont les suivantes :
a. Fonction Ethique : Ensemble des marques du discours dont la volonté est de plaire. L' ethos relève du caractère moral de l'orateur et de la manière dont celui-ci se positionne vis-à-vis d'autrui.
b.Fonction Pathétique : marques langagières impliquées dans le discours voulant toucher son auditoire. Le pathos désigne les sentiments que l'on éprouve, de fait les réactions, les émotions de l'auditoire que l'orateur provoque au moyen de différents procédés.
c.Fonction Logique : Tend à démontrer un fait et à en convaincre l'auditoire en développant une déduction ou induction concernant le message linguistique propre, le logos étant associé à la parole
De nombreux textes littéraires comportent un discours appartenant aux trois genres, s'en éloignant ou s'en rapprochant de manière significative.
ex.: Ponge propose un discours d'ordre épidictique procédant à l'éloge d'une théière, du sable, d'un crabe...
Stendhal use du genre judiciaire tandis que la tragédie classique offre de nombreux exemples de discours relevant des trois genres. Les écrivains jouent de la dichotomie opérée à tavers la distinction générique en assignant certains passages à plusieurs genres différents.
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